regrouptseille

Depuis plusieurs mois des rumeurs font état de grands bouleversements dans l'organisation des écoles rurales de notre territoire. Des réunions avaient lieu entre personnes "autorisées (?)" pour évoquer la future carte scolaire.

On entendait ici et là que les regroupements scolaires dispersés avaient vécu et que, pour offrir aux enfants du Saulnois des conditions d'apprentissage de qualité, il faudrait envisager des regroupements plus grands sur un seul site. L'argument économique était également avancé pour séduire quelques maires. Des frais de scolarité par enfant incroyablement bas étaient même proposés à certains maires pour attirer leurs écoliers ! 

Des élus avaient été informés de ces réflexions, d'autres pas. Des parents d'élèves s'inquiétaient, certains enseignants avaient même été sollicités pour "penser" l'école rurale de demain. 

Hier, à l'occasion de la réunion de la Fédération des maires de l'arrondissement du Saulnois qui s'est déroulée aux Salines Royales, à Dieuze, les choses ont été mises clairement sur la table par Fernand Lormant, le Président de la dite Fédération, vice président du Conseil Départemental et maire de Dieuze et Arlette Saluzzi, Inspectrice de l'Education Nationale sur la circonscription de Château-Salins qui couvre une partie du Saulnois. fedemairesaulnois

La baisse des effectifs d'élèves constatée dans nos écoles oblige, selon les deux intervenants, à repenser l'organisation de la carte scolaire et ils appellent les maires à se réunir rapidement par secteur de regroupement pédagogique pour imaginer l'école de demain dans le Saulnois en précisant qu'au final les maires seront seuls décideurs 

Les maires présents dans la salle ont réagi. Certains acquiescent et demandent même que les décisions soient prises le plus vite possible pour atténuer les coûts exorbitants de la scolarité des élèves qui grèvent leur budget. D'autres, mécontents de la façon dont les choses sont présentées, répondent à l'inspectrice que l'Etat fera de toute façon ce qu'il voudra en décidant de retirer des postes d'enseignants à tel ou tel endroit et que leur marge de manoeuvre est bien mince. D'autres encore s'élèvent contre ces projets de gros regroupements d'écoliers qui vont à l'encontre de l'intérêt des enfants et de leurs apprentissages. 

les regroupements dispersés du Saulnois : 

Bezange, Donnelay, Gelucourt, Ley

Bourgaltroff, Guébling

Lesse, Lucy, Prévocourt

Bermering, Racrange, Rodalbe, Virming

Bioncourt, Gremecey, Pettoncourt, Attilloncourt

Marsal, Moyenvic,Mulcey

Lidrezing, Riche, Haboudange

les regroupements concentrés du Saulnois : 

Aulnois

Bénestroff

Château-Salins

Delme

Dieuze

Hampont

Loudrefing

Marthille

Vic sur Seille

 

 

 

 

 

Commentaires   

+1 #16 Didier GAILLOT 03-07-2018 15:52
C'est tout de même fou que ce sujet n'attire pas davantage de commentaires et ne soit pas plus évoqué par les personnes concernées. Il y va vraiment de l'avenir.
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+1 #15 Hubert felix 02-07-2018 22:24
Les charognards titubent au dessus des couveuses...
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+4 #14 Citoyen Saulnois 01-07-2018 17:47
Chers amis, nous continuons:
Si les Français s'inquiètent du montant des pensions de leur future retraite, les sénateurs, sont, eux, à l'abri. Non seulement ils profitent d'un régime spécial encore avantageux, mais, selon le site Mediapart, de nombreux parlementaires siégeant ou ayant siégé au Palais du Luxembourg bénéficient en plus d'un bonus, leur permettant de toucher d'importants suppléments de retraite.
Pour en profiter, il suffit d'avoir occupé pendant au moins trois ans un poste de "dignitaire", c'est-à-dire une fonction telle que questeur ou président de groupe, explique Mediapart. Pour ce labeur, ces sénateurs (actuellement une quarantaine) reçoivent des bonus, sur lesquels ils peuvent cotiser pour la retraite, ce qui leur permet de doper un peu plus le montant de leur pension.
Certains de ces "dignitaires" vont jusqu'à recevoir 5.170 euros supplémentaires. Mediapart cite l'exemple de Michel Charasse, un ex-sénateur PS, actuellement au Conseil constitutionnel, qui touche 4.470 euros, en plus de sa pension de 8.740 euros. Soit, au total, 13.210 euros brut, ce qui représente 2,4 fois l'indemnité parlementaire de base. Deux autres élus, au moins, touchent plus de 10.000 euros au titre de leur retraite, affirme le site, qui s'est procuré un document interne daté de 2008.
Le Sénat, qui avait porté plainte pour "vol de documents" suite aux révélations de Mediapart sur le train de vie de certains de ses membres cet été, n'a pas fait de commentaires.
Alors, quelles sont les pensions de Monsieur LEROY et Monsieur MARTY, chers amis? Se rendre sur internet, vous verrez quel est le montant de la pension et la solde d'un élu national? Pauvre France, ces deux là en ont profité au maximum. Rajouter, fonctions de Maire, Conseiller départemental, Président CD, peut être ancien combattant, je ne parle pas des pensions obtenues par leurs activités professionnelles.
Que constatons - nous, autour de nous? Le bilan est désastreux comme la position de la FRANCE. Et le petit FILIPPO, suit le même chemin, pourquoi s'en priver, la soupe est bonne.
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0 #13 J-Marie 01-07-2018 10:24
Citation en provenance du commentaire précédent de Lrem :
Arrêtez de paniquer, tout sera bien préparé pour le bien des enfants tout en économisant de l'argent public, d'ailleurs c'est pour ca que nous avons été élu(e) en mai dernier
a LREM (Le .Roi E........le Monde)Comme votre président et sa F....devant le Saint Père vous me faite vomir pour pas dire dégueuler.
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+5 #12 INSOUMIS MOSELLE SUD 30-06-2018 20:15
A lrem. vous me faîtes pensez à Kaa dans le livre de la jungle : "ayez confiance, ayez confiance" quand vous nous parlez de concertation. Dans les différentes lois votées ou les ordonnances prises, citez-moi UNE SEULE disposition de taille que vous ayez retenu, UN SEUL amendement significatif que vous ayez pris en compte !!!
Vous faîtes partie de ceux qui depuis quarante ans nous répètent qu'il est possible de faire mieux avec moins mais qui se gardent bien de s'appliquer cet adage. Les grandes décisions sont déjà prises vous cherchez juste à obtenir le consentement de quelques élus davantage préoccupés par leur petit pouvoir ou par récupérer quelques miettes. Que le président de la fédération des maires de l'arrondissement se prête à cette comédie est significatif..
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+1 #11 et bien 30-06-2018 15:55
LREM, écoutez, allez à l'Elysée avec votre président, prendre un joint et vous faire mettre et partouzer. Le Roi s'amuse, dépense sans compter, pendant que les gens se serrent la ceinture.Bravo.
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-8 #10 Lrem 30-06-2018 12:11
Arrêtez de paniquer, tout sera bien préparé pour le bien des enfants tout en économisant de l'argent public, d'ailleurs c'est pour ca que nous avons été élu(e) en mai dernier
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+4 #9 parent d eleve 30-06-2018 08:19
résistez parents, maires, profs !!! les allégations de Fernand Lormant et de cette inspectrice sur le besoin des enfants sont des arguments tout pourris. il faut garder les petites écoles rurales et leur donner des moyens plus importants !
Lormant a fait le bordel pour son régiment, pour quitter la comcom, on va faire le bordel pour sauver nos écoles !!
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0 #8 J-Marie 29-06-2018 12:25
Citation en provenance du commentaire précédent de Citoyen saulnois :
Au moment où MACRON diminue le montant des retraites est-il normal ce qui suit ?
Elle a aujourd'hui 82 ans ... et l’État a d'infinies douceurs pour elle... et les autres !
L’ÉTAT dépense encore 43 000.00 EUR par an pour le personnel et les déplacements d’Édith CRESSON, 25 ans après son départ de MATIGNON.
Vous vous rappelez d’Édith CRESSON ? Elle a été premier ministre sous François MITTERAND de 1991 à 1992 ! UN AN seulement.
C'était il y a 25 ans. Aujourd'hui elle est bien évidemment à la retraite. Et pourtant, en tant qu'ancien premier ministre, l'’État prend en charge le coût de sa « voiture de fonction » et le salaire d'une assistante. C'est ce qu'a révélé MEDIAPART en février dernier, dans l'indifférence générale.
L’ÉTAT finance encore les anciens premiers ministres. C'est le secrétariat général du gouvernement, un service dépendant de MATIGNON, qui gère les petits privilèges des anciens présidents de la République et anciens premiers ministres.
Au nom de la transparence et du droit d'accès aux documents administratifs, garanti à tous citoyens par une loi de 1978, MEDIAPART a obtenu le détail de ces frais. Non sans mal.
La demande a été faite au secrétariat général du gouvernement en janvier 2015, et sans réponse positive de sa part, MEDIAPART a dû saisir la CADA (Commission d'accès aux documents administratifs), laquelle a rendu un avis favorable à la transmission de ces documents.
Une voiture et une assistante pour Édith CRESSON.
S'agissant d’Édith CRESSON, pour l'année 2014, l'’État a dépensé 33 817.00 €
pour rémunérer une assistante.
Elle dispose également d'une voiture de fonction, achetée en 2007, pour un montant de 44 467.00 EUR. Pas vraiment le coût d'une Twingo. Quant aux frais d'entretien de sa voiture de fonction, l’'État a déboursé 4 233.00 EUR en 2014, ainsi que 5 189.00 EUR de carburant et 541.00 EUR pour l'assurance.
Au total, hors coût d'achat du véhicule, l'’État a dépensé 43 780.00 EUR.
Sachant qu'elle touche les RETRAITES liées à tous ses mandats (maire, député, commissaire européen), est-ce bien raisonnable de continuer à financer une voiture
et une assistante à une femme de 83 ans sous prétexte qu'elle a été Premier Ministre il y a 25 ans ?
Et c’est pareil pour tous les anciens premiers ministres.
C’était le 1/4 d'’heure de vérité pour vous aider à mieux comprendre comment est utilisé votre argent et pourquoi il en faut tant ...

Et c'est une "petite" goutte d'eau dans l'océan: oh bien sur les vacances arrivent et la finale de foot pour "nous" et ca passe!!!!! pour moi la Canicule sera a l'automne, bien a vous
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+2 #7 Didier GAILLOT 29-06-2018 10:24
" Si vous trouvez que l'éducation coûte cher, essayez l'ignorance "
Abraham LINCOLN
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